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Une forte poitrine donne un coup de pouce

Plus utile qu’on ne le croit, une forte poitrine n’est pas seulement une arme idéale de séduction. Elle permet aussi de donner un sacré coup de pouce quand on est une auto-stoppeuse…

Les auto-stoppeuses à forte poitrine auraient plus de succès auprès des conducteurs. Et plus la poitrine est avantageuse, plus la femme qui fait du stop a des chances d’être embarquée par un automobiliste. Un chercheur de l’université de Bretagne-Sud (Rennes) a mené cette étude farfelue en testant la réaction de 1200 automobilistes. La « cobaye » de 20 ans portait un soutien-gorge qui lui permettait de faire varier la taille apparente de ses seins.

Et conclusion de l’étude, plus sa poitrine était avantageuse, plus la femme qui levait le pouce avait de chances d’être invitée à monter dans la voiture d’un automobiliste… Et bien entendu, ce phénomène a été observé principalement chez les conducteurs homme !

Les résultats confirmèrent rapidement l’hypothèse du chercheur en psychologies et sciences du comportement, Nicolas Gueguen, de l’Université de Rennes. Pour le scientifique, les attributs féminins sont bel et bien les arguments les plus accrocheurs d’une auto-stoppeuse. Il a ainsi expliqué : « Accroître la taille de la brassière de la femme auto-stoppeuse a été associé de manière significative à une augmentation du nombre d’automobilistes masculins, mais pas féminins, qui s’arrêtèrent ».

En chiffres, les résultats exprimés en pourcentage d’arrêts :

                                     Seins taille A      Seins taille B      Seins taille C

Conducteurs            14,92%                    17,79%                     24%

Conductrices            9.09%                       7.64%                     9,33%

Le pire, c’est que ça marche aussi avec le montant des pourboires !

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L’anorgasmie et les exercices de Kegel

En thérapie clinique, plusieurs clients consultent pour des troubles sexuels qui nuisent à leur vie de couple. Contrairement aux décennies passées, une attention particulière est attribuée à la sexualité. Auparavant, le plaisir de la femme était envoyé aux oubliettes et le but ultime de la vie sexuelle se résumait à la procréation. La libéralisation sexuelle, l’arrivée du féminisme et la diminution des croyances en la religion sont tous des points qui ont fait que les femmes se sont peu à peu attardées à la découverte du plaisir sexuel. Jamais auparavant nous n’aurions parlé de dysfonctions et d’éducation sexuelles. Même encore aujourd’hui, ce sont des sujets tabous dont il ne faut pas parler trop fort. Pourtant, bien des femmes réalisent certaines problématiques au niveau de leur sexualité.

L’anorgasmie, c’est-à-dire la difficulté à atteindre un orgasme, est le problème féminin le plus fréquent. Plus on en discute, plus les femmes n’ayant jamais vécu ce plaisir recherchent des méthodes pour y arriver. Il n’y a pas de recettes miracles, mais des techniques peuvent être mises en application pour faciliter la connaissance de son corps. Afin d’aider la femme, les programmes d’interventions comportementaux se penchent sur l’application des exercices pubococcygiens. Le muscle pubococcygien est la partie recouverte par les poils pubiens qui entoure l’entrée du vagin et qui s’étend jusqu’au coccyx.

Au départ, Kegel avait mis en place ce programme afin de traiter l’incontinence urinaire. Le but premier était de développer et de renforcer les muscles du plancher pelvien en aidant à retenir l’urine. En 1952, Kegel a soulevé l’idée que ces muscles avaient aussi un lien au niveau de la sexualité et étaient un élément de causalité des difficultés des femmes dans l’atteinte de l’orgasme. Lorsque le tonus de ces muscles augmente, les sensations de plaisir sexuel accroissent aussi à leur tour. Plusieurs chercheurs ont expliqué que ces exercices pouvaient permettre une meilleure lubrification vaginale et que le muscle pubococcygien était l’élément moteur lors d’une réponse orgasmique. Lorsque l’orgasme fait son apparition, le muscle se contracte de lui-même.

La durée de la pratique de ces exercices varie d’une femme à l’autre, mais règle générale, les résultats sont remarqués après 8 semaines. Si vous y consacrez environ 40 minutes par jour, réparties en 3 parties de 10 ou 15 minutes, ceci vous aidera à vivre des relations sexuelles avec orgasme.

Voici quelques petits exercices à exécuter dans votre intimité :

  • Une des pratiques se fait lorsque vous allez uriner. Placez-vous confortablement, les jambes écartées. Lorsque vous commencez à uriner, arrêtez soudainement, puis, continuez à uriner par la suite. Recommencez jusqu’au moment où il n’y aura plus de liquide. Le muscle qui entre en action pendant ces instants est le muscle pubococcygien.
  • Vous pouvez aussi essayer de pousser votre muscle vers le bas, comme lorsque vous allez à la selle, mais en vous centrant sur votre vagin. Cette poussée peut être maintenue pendant 3 secondes et puis relâchez. Ceci peut être pratiqué une dizaine de fois.
  • Imaginez que vous avez un tampon et que vous l’aspirez à l’intérieur de votre corps.
  • Insérez un doigt dans votre vagin et contractez les muscles dont vous avez réalisé l’existence dans les étapes précédentes. Vous devriez sentir un serrement autour du doigt.

Ces quelques exercices peuvent ne rapporter aucun résultat au début mais avec de la patience et de la persévérance, les résultats pourront être positifs. Lorsque vous serez habile, vous pourrez contrôler vos muscles pour vous exciter sexuellement lors de vos relations sexuelles avec pénétration. Évidemment, pour atteindre des orgasmes, il ne suffit pas de savoir contrôler ses muscles pubococcygiens. Une combinaison de plusieurs apprentissages permettra sans doute de faire la découverte de nouveaux plaisirs. Vous pouvez ajouter à votre bagages d’habiletés, une éducation sexuelle, une bonne communication conjugale et une meilleure gestion du stress. De plus, n’ayez pas peur de vous documenter. La sexualité est une sphère souvent négligée, et pourtant elle amène de nombreuses sources de conflits au sein du couple. Une des choses à ne pas oublier, c’est de ne pas vous mettre une pression sur les épaules et de vous laissez aller avec votre partenaire.

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Certaines huiles essentielles

Certaines huiles essentielles peuvent nous aider à nous ancrer dans notre féminité et notre sexualité. Un joli moyen pour irradier d’énergie, de sensualité et de beauté. En toute naturalité et simplicité.

L’YLANG-YLANG, POUR SOUTENIR LE DÉSIR

Originaire des Philippines et d’Indonésie, l’ylang-ylang y est nommée « la fleur des fleurs ». C’est d’ailleurs de là-bas que lui vient sa réputation d’huile aphrodisiaque, puisqu’en Indonésie, on saupoudre de fleurs la chambre et le lit, des jeunes mariés lors de la nuit de noce. Réputation néanmoins légèrement exagérée. Huile de la séduction, oui,mais ensuite mieux vaut se tourner vers quelque chose de plus caliente !

L’ylang-ylang, c’est l’huile essentielle de la sensorialité, du plaisir d’habiter son corps. Elle permet la montée en puissance du désir, mais aussi l’expression de son plaisir. Car elle dénoue les tensions psychiques et laisse place à une forme d’indolence propice aux caresses et au plaisir des sens… Oui, cette huile magnifique fait partie des incontournables pour remédier à la frigidité ou à l’impuissance. Elle constitue une solution de choix pour apaiser les mémoires de non-vie ou les blessures du premier chakra. Elle peut aussi être utilisée pour corriger l’hypertension, en particulier lorsque le coeur s’agite dans tous les sens sans trouver à se poser… Mais cette huile essentielle n’est pas réservée aux femmes : elle soutient l’homme pour lui permettre d’habiter sa puissance virile face à une femme qui a du désir. comment ? En massage diluée dans de l’huile végétale de noix de coco, ou en bain, diluée dans une base neutre pour stimuler son harmonie… Ou bien encore en olfaction, une ou deux gouttes au creux du poignet pour quelques respirations profondes.

LE GINGEMBRE, POUR FAIRE MONTER LE FEU

Cette plante digestive, capable de chasser le froid et l’humidité, sera l’alliée des femmes frigides (au vrai sens du terme) depuis des années. Elle conviendra aussi aux hommes qui ont besoin de davantage de feu dans leur sexualité. Elle permet l’accès au plaisir, pour celles (et ceux) qui trouvent que la sexualité est rarement à la hauteur de ses promesses qui trouvent que « la bande annonce est mieux que le film… » !

A la fois vasodilatatrice et stimulante pour le système nerveux, elle redonne de la vigueur aux couples un peu assoupis, fait revenir l’énergie et redonne l’envie d’aller vers les autres et d’agir. Attention à ne jamais l’utiliser pur, elle est dermocaustique (elle brûle la peau) : on la diluera à 20% dans de l’huile végétale de macadamia, on en parsèmera sa cuisine (avec grande modération) et on la respirera à raison de 2-3 gouttes dans un grand bol d’eau chaude.

LE GÉRANIUM ROSAT, POUR ACTIVER LA VIBRATION

Son huile essentielle est une friponne, à la fois relaxante et tonifiante, elle soutient l’énergie du jeu, et apporte légèreté, fraîcheur et joie à ceux qui l’accueillent dans leur vie. Et quelle alliée ! Elle guérit les mémoires de lourdeur, de contrainte, de devoir et permet de réapprendre le jeu des polarités masculines et féminines, pour elle comme pour lui !

Douce pour la peau comme pour l’esprit, on n’hésite pas à mettre quelques gouttes d’huile pure à  l’intérieur des poignets plusieurs fois par jour dès que l’on se sent en proie à l’anxiété, l’agitation, le stress… Notons qu’il s’agit aussi de l’huile des femmes qui mènent une double vie, au sens d’une double gestion professionnelle et personnelle, elle permet alors de trouver le juste équilibre entre le coeur et la raison, le désir et le devoir. Elle éclaire la vie sous un autre regard, dans un éclat de rire ! On aimera l’associer avec sa grande soeur, plus chère mais si belle, le géranium Bourbon, en diffusion, pour créer une atmosphère à la fois calme et détendue, tonique et créative, ou bien en cuisine pour un délicieux gâteau joyeux et original qu’elle transformera grâce à sa saveur de rose et de litchi…

LE CAMPHRIER DE CHINE, L’HUILE DES GEISHAS

On parle aussi d’Ho Oil (huile de Bois de Hô) : cette huile assez rare est un tonique général capable de lutter contre l’asthénie et la frilosité. Elle offre un bon ancrage et régule ceux qui montent trop vite en puissance et ont tendance à zapper les préliminaires : elle favorise l’apprentissage de l’amour, de la délicatesse et laisser monter les énergies jusqu’au coeur.

Attention, cette huile ne convient pas à celles (et ceux) qui ont un noyau hystérique un peu trop marqué, qui en veulent toujours pour soi avant les autres et qui passent leur vie à essayer de se faire remarquer. On l’utilise au sein d’une sexualité précieuse et sacrée, en relation avec le coeur…

Notez aussi que le camphre doit être réservé à l’usage externe car en usage interne, il risque de provoquer des troubles importants au niveau de la respiration. S’il est ingurgité, il peut même entraîner une détresse respiratoire. À trop forte dose, le camphre est hautement toxique et peut provoquer des convulsions et des vomissements. Les personnes souffrant d’hypertension artérielle ou de maladie cardiaque doivent s’abstenir de l’employer.

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Quand la rupture laisse comme une aiguille dans le coeur

Rupture. Deux syllabes qui sonnent comme un slogan politicien mais qui font très mal quand elles concernent votre relation amoureuse. Comme si vous aviez bu de l’acide ou comme si l’on vous avait mis une aiguille en plein cœur : la douleur ne vous quitte plus, jour et nuit vous souffrez.

PEU IMPORTE LA RUPTURE, LA SOUFFRANCE EST LÀ

Peut-être que vous vous êtes entiché(e) de quelqu’un qui ne vous aimait pas autant que vous l’aimiez. Peut-être que quelqu’un avec qui vous étiez en relation depuis des années vous a subitement fait horriblement mal ou a trop tiré sur votre corde sensible jusqu’à ce qu’elle casse. Partenaires colériques, violent(e)s, instables, trompeurs ou trompeuses, ou tout simplement inintéressé(e). Peut-être que l’amour que votre partenaire vous portait s’est effiloché avec le temps ou encore, peut-être que quelqu’un d’autre est arrivé dans sa vie. Peut-être que l’être aimé a été emporté par la mort.

Votre douleur est intense et il vous semble qu’elle sera là pour toujours : dans votre cœur, la nuit a annexé le jour. A présent vos jours sont des nuits et vos nuits sont plus noires, plus tristes, plus angoissantes que jamais; vous avez perdu le sommeil.

Que la rupture ait été de votre initiative ou non, la souffrance est la même et souvent, vous avez l’impression d’avoir commis une énorme erreur. Une pluie de questionnements s’abat sur vous :

  • Qu’ai-je fais qu’il ne fallait pas ?
  • Que fallait-il faire et que je n’ai pas fait ?
  • Ai-je été assez bien ?
  • Qu’est-ce qui cloche chez moi ?
  • Vais-je arriver à m’en sortir ?
  • Vais-je arriver à retrouver le bonheur ou seulement le sourire ?
  • Pourquoi n’ai-je plus goût à rien ?

Une armée de sentiments négatifs vous assaille sans répit. L’impression d’être rejeté(e), sans valeur, une merde inutile. La colère et la tristesse vous compriment le cœur si fort que vous voudriez qu’on vous l’arrache. La jalousie parfois s’en mêle, et vos rêves sont remplis d’images cruelles : l’autre dans les bras d’un(e) autre, souriants, heureux, s’embrassant, faisant l’amour, se promenant. Vous avez du mal à respirer. Vous êtes au fond du trou.

Vous ne pouvez pas vous empêcher d’y penser : comment le faire revenir ou la faire revenir ? Vous pensez à lui ou à elle quasiment à chaque instant et vous ne pouvez vous concentrer sur quoi que ce soit. Vous vous dîtes peut-être que vous êtes prêt(e) à tout pour récupérer votre ex-partenaire… Stop ! C’est le moment d’arrêter cette spirale négative dans votre tête et de faire un grand break.

Aujourd’hui, vous êtes dans le trou, mais au fond du trou, réside une grande opportunité. Malgré la douleur, votre rupture est une opportunité d’examiner votre relation et votre vie pour en tirer des enseignements et repartir sur de meilleures bases, au niveau personnel comme amoureux. En lisant ces lignes, vous aurez certainement du mal à le croire mais c’est parfaitement vrai. Il est très difficile d’effectuer ce travail sur soi mais si l’on a la bonne méthode et les bons repères, on a toutes les chances de s’en sortir. Au fil du temps, je vous donnerai sur ce blog des pistes pour vous échapper de cette véritable prison qu’est la dépression post-rupture.

Après une rupture, on a trois options :

  • Sombrer totalement tout en essayant de récupérer son ex coûte que coûte.
  • Faire comme si de rien n’était et enchaîner sur d’autres relations souvent du même type.
  • Faire une introspection et un travail sur soi pour repartir sur de meilleures bases.

La plupart des gens commenceront par la première option et passeront ensuite à la deuxième (après avoir essuyé un échec cuisant et douloureux). Essayer de récupérer son ex à tout prix mène souvent à l’avilissement et à une perte totale d’estime de soi. Implorer, supplier, promettre de faire tout ce qui lui plaira. Appeler dix fois, vingt fois, trente fois dans la même journée. Laisser des messages désespérés sur le répondeur. Menaces de suicide. On peut parfois aller très loin. Clairement, ce n’est pas la voie à suivre, en agissant ainsi, on ne fait que creuser un trou plus profond. De même, enchaîner sur des relations parfois « juste pour oublier » mène souvent à une longue période où l’on est ni seul(e) ni vraiment en couple et chaque nouveau changement est l’occasion de sentir de plein fouet la peine initiale qui revient avec une vigueur décuplée.

La troisième option, c’est prendre le contrôle de sa vie aussi dure qu’elle paraît. C’est affirmer que dans cette vie, vous n’êtes pas le passager d’un chauffard ivre qui à tout instant, risque de vous précipiter dans un ravin. Peu importe la route, droite, sinueuse, cabossée : vous êtes au volant.

Le plus grand défi est de savoir où on va, surtout après une longue relation. Les habitudes qu’on a prises, apprises et partagées avec son ex sont toujours làOn a tendance à se remémorer les bons moments passés ensemble et à oublier les mauvaisce qui nous enchaîne encore plus au passé. On ne sait pas quoi faire pour sortir du trou et repartir du bon pied. Les conseils des amis et des proches ne fonctionnent pas vraiment : « n’y pense plus », « vois d’autres personnes », « tu vas voir, ça va s’arranger », « arrête de t’apitoyer sur ton sort, il y a pire dans la vie », « il ou elle ne te méritait pas de toutes les façons » etc. Je ne peux pas non plus vous donner le chemin exact pour sortir du tunnel, mais je peux vous donner une direction vers où marcher. C’est celle que j’ai moi-même suivie.

Il y a trois points cruciaux à suivre pour non seulement survivre à la rupture, mais surtout pour s’épanouir après la rupture :

  • Prendre soin de soi d’abord
  • Surmonter sa peine (et non l’éviter)
  • Transformer sa vie

PRENDRE SOIN DE SOI D’ABORD

Après la rupture, vous êtes dans une période d’extrême fragilité et franchement, vous pensez plus à l’autre qu’à vous. Parfois vous ne mangez plus, vous ne dormez plus et vous vous négligez de manière générale.

En dehors de votre relation détruite, plus rien ne vous paraît important. Même si, encore une fois, l’idée de vouloir récupérer son ex à tout prix est loin d’être brillante, ce n’est surement pas dans cet état que vous allez pouvoir récupérer qui que ce soit. Mais le plus important est que vous devez vous aimer et vous occuper de vous en premier, pour votre bien, pour aller mieux et pour pouvoir rayonner plus tard. La nature a horreur du vide, si vous suivez le vent de la détresse qui vous emporte, vous serez empli(e) de chagrin, de colère, de jalousie, de manque d’estime de soi, de regrets et d’une foules d’autres sentiments négatifs. Vous devez donc être décidé(e) à remplir votre corps et votre esprit d’énergie positive.

Accordez-vous des petits plaisirs chaque semaine, fixez-vous des petits objectifs et travaillez à les atteindre, suivez vos centres d’intérêts et vos passions, occupez-vous agréablement, voyez vos amis et élargissez votre réseau de connaissances ; faîtes des breaks ; évitez activement les idées négatives et obsessionnelles ; l’idée est de limiter au maximum le temps passé à ressasser des pensées autodestructrices et se renforcer petit à petit. Entretenez la force intérieure que vous avez en vous car vous en aurez besoin pour traverser la longue et douloureuse épreuve qu’est la rupture amoureuse.

SURMONTER SA PEINE (ET NON L’ÉVITER)

Vos proches vous conseilleront souvent de « faire comme si de rien n’était », « pour oublier ». En général on y arrive pas, et plus on essaie d’enfouir sa peine dans un coin reculé de son cœur, plus forte elle revient nous briser le moral jusqu’au point où l’on est même plus capable de sortir du lit. Jetez la peine au loin et elle reviendra vous casser la gueule comme un boomerang. Il s’agit plutôt de surmonter cette peine et non de l’éviter. Comme une montagne qu’on gravit, sentir chaque aspérité, ne pas se dérober et monter centimètre par centimètre jusqu’à ce qu’on arrive au sommet : si près du soleil, la peine est dominée.

C’est la partie la plus critique et la plus difficile.

Les premiers jours après la rupture, on est souvent relativement indifférent et on se dit que tout va bien, mais la peine finit toujours par arriver et elle vous écrase totalement comme un TGV sorti de nulle part qui vous passe dessus dans un vacarme assourdissant. Alors souvent, la peine est tellement forte qu’on essaie de surcompenser ou de l’éviter en comptant sur l’alcool, le travail, le sexe, la nourriture etc.

Pour surmonter sa peine, il faut au contraire la laisser pénétrer et l’accepter pleinement. Mettre de la musique et se coucher un moment dans le noir sans rien faire d’autre que pleurer ou méditer : c’est normal, utile, bénéfique. Il ne faut cependant pas faire que cela. Il faut aussi, activement utiliser ces moments pour faire un examen de la relation passée. Faire une autocritique de sa relation permettra, petit à petit, d’arrêter de l’idéaliser ou de la diaboliser et d’avoir une vision réaliste de ce qu’elle a vraiment été, avec ses aspects positifs et négatifs. Petit à petit, vous serez capable de regarder votre relation avec un œil critique et une certaine distance. Au bout du processus, vous serez peut-être même soulagé(e) que la relation se soit terminée. En tous cas, vous aurez pris une distance salutaire et commencerez à ouvrir les yeux sur les opportunités qui brillent autour de vous mais auxquelles votre dépression vous rendait aveugle.

TRANSFORMER SA VIE

Beaucoup de personnes arrivent à prendre un nouveau départ après leur rupture et sont infiniment plus heureuses. Leur monde ne s’est pas arrêté mais s’est embelli. La rupture amoureuse est un tel tourbillon d’émotions qu’elle peut représenter aussi un véritable catalyseur pour complètement transformer sa vie et prendre des directions qu’on ne soupçonnait même pas ou dont on rêvait depuis l’enfance mais qu’on osait pas poursuivre. Les émotions qu’on ressent sont si radicales que lorsqu’on se décide à agir, on le fait avec une grande détermination et une sorte de rage. C’est donc l’occasion de se lancer dans des actions positives pour que sa vie post-rupture soit meilleure que celle d’avant. Une fois qu’on a surmonté sa peine, on peut utiliser la rupture comme un coup de fouet que la vie nous donne pour qu’on se remue et qu’on aille encore plus loin, très loin de notre zone de confort.

Prochainement, je reviendrai en détail sur chaque point avec des conseils simples et pratiques pour affronter la dépression post-rupture.

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BDSM, tout un monde érotique

ParNathalie DibonaPublié le 7 octobre 2016SHARETWEETSHAREEMAIL

De la petite paire de menottes en duvet rose aux actes d’humiliation, il n’y a pas qu’un pas. Le monde du BDSM – bondage, domination, soumission et masochisme – regorge de pratiques et de techniques toutes plus différentes les unes des autres, avec des degrés d’implication et des rôles diamétralement opposés ainsi qu’une quête du plaisir très personnelle. Le secret dans le BDSM c’est la progressivité et la définition de ses propres limites, dans le respect de l’autre et de soi-même. Après, entre personnes adultes et consentantes, tout devient possible…

BDSM, QU’EST CE QUE C’EST ?

Fesses et talons hauts

Pourquoi tant de pratiques différentes rangées dans la même boite ? Pourquoi un tel engouement ? Comment peut-on aimer ça ? Qui a ce genre de pratique sexuelle ? Le SM est-ce pour moi ?…

Des questions récurrentes souvent posées par des personnes qui ne connaissent pas vraiment le BDSM et s’accrochent aux images populaires qui stigmatisent ces pratiques. Ou des gens qui s’interrogent entre désirs, fantasmes et curiosité. C’est justement cette méconnaissance du domaine qui induit en erreur beaucoup de gens et les pousse à étouffer leurs désirs et leurs fantasmes par honte et par peur du qu’en dira-t-on ou du rejet de l’autre… Et pourtant, les pratiques BDSM sont très répandues, existent depuis toujours et intriguent de plus en plus de monde… surtout depuis le succès de la trilogie « 50 nuances de Grey » et la sortie du film !

Une petite définition pour tous ceux qui se posent la question : le BDSM est un diminutif pour « bondage », « domination », « soumission » et « masochisme ». Des pratiques érotiques, sexuelles ou non, sous forme d’échanges consentis et presque contractuels, entre deux ou plusieurs adultes, autour de la mise en scène de fantasmes érotiques partagés. Entre dominants et dominés, des situations finalement pas si éloignées que ça de la vie quotidienne, mais qui ont le mérite de donner le choix, offrant de surcroît une superbe complicité entre les partenaires sexuels.

Longtemps assimilées à des déviances sexuelles, voire des pathologies, elles sont aujourd’hui moins pointées du doigt et plutôt assimilées à des pratiques sexuelles sortant de la norme. Le point commun entre elles, c’est qu’elles sont à l’antithèse d’une sexualité vanille (classique) offrant des chemins différents dans la recherche de plaisir, la conscience de soi et de son corps, voire la quête d’un certain spleen, le tout à travers un lâcher prise parfois impossible dans la vie réelle et une sensation d’abandon extatique.

Des accessoires SM et des jeux sexuels borderlines qui font appel à nos instincts les plus profonds, stimulent et donnent une sensation de vie incomparable dans un monde qui parfois nous assomme…

BONDAGE, DISCIPLINE, SOUMISSION ET MASOCHISME

Femme attachée avec menottes

Le bondage est une pratique érotique pas toujours sexuelle. Bondage signifie, littéralement, « réduire à l’esclave ». La discipline consiste à attacher son partenaire ou se faire attacher pour maintenir le corps dans une certaine position. Il existe plusieurs sortes de bondages dont nous reparlerons ultérieurement, comme le bondage stricte, le bondage sensuel ou le bondage japonais. Ruban, menottes, scotch, corde, chaînes… Les méthodes et les positions sont presqu’infinies et parfois même très esthétiques…

La domination et la soumission peuvent être physiques ou psychologiques, voire fantasmées. Un moyen intrinsèque de lâcher prise, de changer les règles et / ou d’inverser les rôles. Surement l’une des principales raisons pour lesquelles les personnes à hautes responsabilités s’adonnent plus souvent aux plaisirs de la soumission, que les autres.

Tantôt hard, tantôt soft, le sado-masochisme à lui tout seul rassemble les extrêmes. Plutôt assimilés à de la douleur physique et/ou psychologique, le sadisme et le masochisme ont beaucoup fait parler d’eux, psychologues, psychiatres et sociologues essayant d’en expliquer les tenants et les aboutissants. Le sadisme est d’ailleurs souvent exclu des pratiques sexuelles BDSM, car assimilé à une recherche du plaisir dans la douleur de l’autre sans consentement. On peut cependant parler du SM comme une pratique sexuelle entre des personnes dominantes et d’autres dominées consentantes, qui cherchent dans la douleur à rompre la morbidité du quotidien et à se sentir vivants.

Quant au fétichisme, il est parfois aussi associé au monde BDSM, ne serait-ce que par sa nature « non-conventionnelle ». Le fétichiste est excité sexuellement par la vue et/ou le toucher d’un objet, d’une partie du corps, ou d’une situation. Une forme d’adoration incontrôlable de l’élégance d’un pied nu, de la sensualité d’une chaussure ou encore de l’érotisme d’une chevelure. On parle assez souvent du fétichisme des pieds (nommé aussi podophilie), mais il existe bien d’autres sortes de fétichismes comme la tricophilie (adoration des cheveux ou des poils), l’altocalciphilie (adoration des hauts talons)… En fait, tout peut être fétiche. Tout, sauf ce qui est déjà passé comme érotique dans la conscience populaire, comme la poitrine des femmes, les hanches, les fesses… Certains sexologues vont plus loin en avançant que finalement nous serions tous plus ou moins fétiches, à des degrés différents, et que nous nous différencions seulement par la nature « courante » ou non de notre / nos fétiches !

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Comment bien choisir son premier sex-toy féminin ?

QUEL SEX-TOY POUR QUELLE UTILISATION ?

Ces accessoires érotiques ont été imaginés pour quasiment toutes les parties du corps de la femme… Si vous envisagez un premier achat, pensez à toutes les zones sur lesquelles vous pourrez ou voudriez l’utiliser. Allez-vous l’utiliser seule ou avec un partenaire ? Quelle est la puissance ou l’intensité souhaitée pour les vibrations ? Doit-il être silencieux, waterproof, discret ou fantaisiste, design ou réaliste ? Autant de questions dont vous seule connaissez la réponse. Pour le reste, tentons un petit décryptage.

Vibromasseur

La première fois, le choix est difficile tant l’offre est variée et pas toujours explicite. Néanmoins, nous pouvons regrouper les sex-toys en 3 grandes catégories.

STIMULATION CLITORIDIENNE

Le plaisir clitoridien n’est pas anodin ! Il existe des sex-toys spécialement conçus et adaptés pour stimuler le clitoris en douceur. Vous avez le choix de la couleur, de la matière, de la forme. Certains prônent l’élégance, d’autres la créativité ou encore l’innovation comme le désormais célèbre Womanizer qui affiche des performances inégalées. Les stimulateurs clitoridiens peuvent être utilisés en solo ou lors des préliminaires ou pendant la relation sexuelle.

STIMULATION VAGINALE

Si vous souhaitez un sex-toy pénétrant, optez plutôt pour une référence à la forme phallique bien sûr. Ils sont généralement composés en silicone, en céramique ou en verre. Les vibromasseurs ont la particularité d’avoir des programmes de vibrations pour contrôler la venue du plaisir contrairement aux classiques godemichets. Si vous désirez particulièrement stimuler votre point G, certains produits sont spécialement courbés et pensés pour vous.

STIMULATION ANALE

Pour une initiation à la pénétration anale, il est vivement conseiller de débuter par un sex-toy de petite taille et au toucher lisse pour une introduction en douceur. Des sex-toys à l’introduction progressive existent pour de multiples sensations. Muni d’un tube de lubrifiant intime, laissez-vous aller à une nouvelle expérience en toute quiétude !

LUBRIFIER ET NETTOYER

Quelle que soit la nature du sex-toy choisi, il est indispensable de bien lubrifier avant toute pénétration vaginale ou anale. Préférez les lubrifiants à base d’eau, ceux à base de silicone bien que plus efficaces ne sont pas compatibles avec un jouet sexuel lui-même en silicone. Enfin, n’oubliez pas de nettoyer vos différents objets de plaisir après chaque utilisation à l’aide d’un spray désinfectant ou de lingettes prévues pour.

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10 aphrodisiaques dans votre cuisine

Les aphrodisiaques, venus tout droit des entrailles étymologiques de la déesse grecque de l’amour Aphrodite, sont depuis toujours recherchés pour donner du piquant à la vie amoureuse.

Vous les pensez inaccessibles? Pourtant, il y en a plein dans vos armoires de cuisine!
Voici 10 aphrodisiaques que vous avez sûrement chez vous :

1. Le chocolat. Les Aztèques et les Mayas ont été les premiers à découvrir ses propriétés aphrodisiaques. Manger du chocolat permet de générer des endorphines, aussi appelées «hormones du plaisir», ce qui procure une sensation de bien-être. Alors pourquoi se priver…

2. Les huîtres. Même si les scientifiques sont sceptiques, les huîtres sont reconnues comme étant aphrodisiaques depuis longtemps. Leur forte teneur en zinc et en iode leur conférerait ces propriétés.

3. Le romarin. Quelques brins de romarin permettent de donner un arôme envoûtant (pas seulement) à vos plats! Les femmes utilisent son parfum aphrodisiaque depuis des lunes pour envoûter la gente masculine.

4. Les épices. Le piment, le cumin, la cannelle, le ginseng, le poivre ou les clous de girofle sont parmi les plus puissants aphrodisiaques naturels. Ces condiments ont longtemps agrémenté les philtres d’amour. Tout comme l’ail et l’oignon, mais ce n’est forcément pas le meilleur choix avant de s’embrasser…

5. Les arachides. L’arachide possède une haute teneur en zinc. Le zinc a un effet scientifiquement reconnu chez l’homme sur la production de testostérone et la mobilité des spermatozoïdes. L’arachide est également riche en vitamine E, qui stimule l’envie et le désir sexuel.

6. Les asperges. Les asperges font partie des aliments aphrodisiaques car elles ont la vertu de stimuler la production de testostérone, une hormone qui joue un rôle essentiel dans la vie sexuelle en augmentant l’énergie et la libido.

7. L’avoine. Cette céréale est très riche en hormones végétales et constitue un sacré remontant sexuel ! Elle permet de pallier les défaillances provisoires, elle redonne du tonus et rétablit un bon équilibre nerveux. Un bain d’avoine stimulerait même la libido.

8. Le safran. Le safran est une épice très prisée. Elle possède des vertus aphrodisiaques. Par contre, il ne faut pas en prendre trop, car consommée en grande quantité, il peut avoir un effet soporifique. Le safran est un aphrodisiaque surtout efficace auprès des femmes.

9. Le persil. Il permet de stimuler les glandes sexuelles afin de susciter le désir. Des études ont démontré que le persil accroît la virilité et la sensibilité des zones érogènes.

10. Fraises et champagne. La fraise a acquis sa réputation d’aphrodisiaque en raison de ses graines minuscules symbolisant la fertilité. Elle contient plus de vitamine C que n’importe quelle autre baie. Servez-les avec du champagne et vous aurez la combinaison parfaite entre romance et sensualité pour amorcer vos ébats…

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Love Dolls, bien plus que des sex-toys…

Nous connaissons tous obligatoirement les classiques poupées gonflables, produit phare des anciens sexshop de ville… et des enterrements de vie de jeune garçon ! Car il faut bien l’avouer, ces soit-disant sex-toys étaient le plus souvent acheté pour rigoler que pour se faire plaisir tellement la qualité globale n’était pas au rendez-vous !

Aujourd’hui, la donne des poupées sexuelles a bel et bien changé avec l’arrivée sur le marché de Love Dolls, Sex Dolls ou encore Real Dolls. Zoom sur ce phénomène tout droit importé du Japon.

UNE POUPÉE RÉALISTE…

Si ce pays nous avait déjà étonné avec les masturbateurs design signés Tenga, tout sauf réalistes pour le coup, le pays du Soleil Levant nous étonne cette fois-ci avec des poupées sidérantes de réalisme, au visage angélique et aux courbes affriolantes qui envahissent lentement mais sûrement l’Europe !

Réalisées en TPE (élastomère thermoplastique) ou bien en silicone, ces mannequins sont pleines et articulés à l’aide d’un véritable squelette confectionné en métal.

SUR-MESURE

Préférences et fantasmes sont largement assouvis puisque la confection de poupée silicone sur mesure sur Latex-Sexy-Doll.com par exemple propose de personnaliser sa poupée dans ses moindres détails. De sa taille, de 140 à 180 cm, sa corpulence, fine ou ronde, ses fesses, classiques ou avantageuses, sa poitrine, du bonnet A au K… vous avez l’embarras du choix !

Mais la personnalisation ne s’arrête pas là puisque la forme du visage, la couleur des yeux, la coupe de cheveux, la couleur de peau, les ongles, l’épilation du maillot… sont à définir afin de répondre exactement à vos envies.

…ET D’AMOUR

Mais pour certains, la Love Doll devient bien plus qu’un simple sex-toy comme la poupée gonflable… L’acte sexuel n’est pas obligatoirement le besoin primaire de l’acte d’achat. Ce dernier peut réellement répondre à un besoin de présence féminine. Le propriétaire s’occupant de sa poupée réaliste comme d’une véritable compagne allant jusqu’à lui acheter des vêtements et sous-vêtements, partager tendrement des activités, regarder la télévision, dormir avec elle, etc.

Si cela peut paraître étrange de part notre culture, les japonais ont admis et accepté la chose depuis bien longtemps maintenant.

UN SEX-TOY DE PREMIER CHOIX

Cependant, dans le cadre d’une utilisation sexuelle, la Love Doll reste un véritable sex-toy haut de gamme inégalable. En effet, de part son réalisme, ses dimensions et ses attributs érotiques, l’acte sexuel est mimé à la perfection et les sensations incroyablement jouissives !

Rendez-vous compte, outre la personnalisation, la poupée n’est jamais contre une partie de jambe en l’air, dans n’importe quelle position. Et si elle propose bien évidemment la pénétration vaginale, elle peut également offrir une stimulation orale comme anale ! De quoi craquer pour cet objet érotique pas comme les autres permettant de combler des envies sexuelles avec un réalisme saisissant.